Un peu pour démystifier, beaucoup pour, enfin, faire le point, ce spectacle nous introduit en pleine séance d’une sirène qui va chez sa psy.
En déployant la figure chimérique de la Sirène, Aurore Magnier cherche à faire entendre un point de vue complexe et intime sur les questions identitaires, les violences systémiques faites et aux femmes et enfin la sororité et la nécessité de soigner nos liens affectifs, ceux aux autres et ceux à soi-même.
Dans un jeu d’émotions, d’exploration et d’analyse fictive, les identités des sirènes, mi-femme et mi-poisson, finissent par se réveler à nous et c’est alors que dans la salle, les sirènes se reconnaissent.